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Le charbon, le pétrole et le gaz renouent avec leurs niveaux d’antan

Les investissements dans les hydrocarbures, un secteur trop vite considéré comme non porteur, ont manqué ces dernières années. Aujourd’hui, leurs cours flambent d’autant plus que les alternatives renouvelables ne comblent pas les déficits

Le gaz naturel est surtout importé par le biais de gazoducs, comme celui-ci en Suisse. L’inauguration d’un nouveau tuyau reliant la Russie à l’Europe, sous la mer Baltique, se fait attendre. — © Peter Schneider/Keystone
Le gaz naturel est surtout importé par le biais de gazoducs, comme celui-ci en Suisse. L’inauguration d’un nouveau tuyau reliant la Russie à l’Europe, sous la mer Baltique, se fait attendre. — © Peter Schneider/Keystone

Le prix du baril de Brent dépasse les 83 dollars, une première depuis 2014. Sur le TTF, la plateforme de référence du négoce de gaz naturel en Europe, le mégawattheure de gaz s’échange à 87 euros, en baisse depuis une semaine, mais depuis le début de l’année, c’est l’explosion (le MWh valait 17 euros en janvier). En Chine, où près de la moitié du charbon mondial est extraite, les cours de ces roches sédimentaires grimpent tandis que l’électricité, qui découle surtout de ces énergies, coûte plus cher en Asie, en Amérique et en Europe.

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