Face à la crise énergétique, il a été question de revoir la production. D’ouvrir des centrales à gaz, de se munir de génératrices, d’installer des panneaux solaires ou d’augmenter les réserves hydrauliques des barrages. Mais c’est insuffisant pour pallier les risques de pénuries. Les projecteurs se braquent donc sur les consommateurs. Surtout en Suisse, ce pays qui ne fait pas partie de l’UE et qui risque d’être le dernier du continent à pouvoir importer du courant.