énergie
AbonnéL’interdiction, depuis dimanche, des importations en Europe de diesel, mazout ou kérosène russes achève de redessiner l’approvisionnement du continent. A la pompe, les prix n’augmenteront pas forcément

C’est une interdiction historique: depuis le 5 février, l’Europe ne doit plus importer de pétrole, de charbon mais aussi de combustibles et de carburants russes. Seule une quantité symbolique de gaz arrive encore de Sibérie. Ces dernières décennies et il y a encore quelques mois pourtant, le Vieux-Continent était complètement dépendant de la Russie.