«Il y a un momentum, 2020 pourrait être une année charnière pour l’énergie et le climat.» Ces mots ont été prononcés par Fatih Birol, le directeur de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), lors du sommet du Financial Times (FT) sur les matières premières qui s’est tenu cette semaine – il a normalement lieu à Lausanne, il était cette année entièrement virtuel. L’impulsion vers des énergies plus propres – du charbon, du pétrole et du gaz aux renouvelables – est plus forte que jamais. Et ceux qui jouent les premiers rôles ici ne sont pas toujours ceux qu’on attend.