Vitol a accepté de payer plus de 163 millions de dollars pour que des procédures en justice à son encontre soient classées. Le plus grand négociant indépendant du monde, basé à Genève, était accusé d’avoir versé des pots-de-vin au Brésil, au Mexique et en Equateur pour obtenir des contrats. La firme a aussi voulu manipuler les marchés de l’énergie, selon un accord rendu public jeudi par la justice américaine.