Il a d’autres chats à fouetter. Martin Boeni est davantage préoccupé par ses projets industriels que par la rupture des négociations sur l’accord-cadre avec l’Union européenne (UE). Le propriétaire du groupe BBN Mécanique et de ses trois sociétés va bientôt modifier sa structure. Simultanément, l’entreprise, qui était d’abord spécialisée dans les broches industrielles, s’étend en amont – aux machines – et en aval – aux outils.