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Contenir le franc, la tâche toujours plus complexe de la BNS

Si la Banque centrale européenne baisse ses taux ce jeudi, l’institution suisse pourrait être tentée de la suivre. Ce qui pourrait se retourner contre elle

Thomas Jordan, président de la BNS, subit les décisions de la BCE. — © KEYSTONE/Anthony Anex
Thomas Jordan, président de la BNS, subit les décisions de la BCE. — © KEYSTONE/Anthony Anex

Quelle que soit la voie choisie par la Banque centrale européenne, le casse-tête de la Banque nationale suisse ne va pas se simplifier. Avec la chute des bourses et du pétrole, le franc est reparti à la hausse lundi, atteignant jusqu’à 1,0540 pour 1 euro en début de matinée – un niveau qui n’avait plus été vu depuis les premiers mois de 2015, après la fin du taux plancher –, avant de se déprécier de nouveau et de revenir au-dessus de 1,06 dans l’après-midi.

Lire aussi: Le coronavirus fait flamber le franc

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