On se croirait en janvier 2015. Les experts osent la comparaison entre la situation actuelle et celle qui prévalait il y a un peu plus de cinq ans, lorsque la Banque nationale suisse (BNS) avait abandonné le taux plancher de 1,20 franc pour 1 euro et devait lutter contre les forces des marchés à coups de milliards d’interventions sur le marché des changes.