Investir dans l’eau, la forêt ou les terres: la nature est actuellement très en vogue dans le monde financier. Pas seulement pour soutenir des projets à travers de la philanthropie, mais pour réaliser des investissements durables, avec le double objectif de participer à la préservation de la planète et de dégager un rendement financier. Des marchés sont en train d’être mis en place, peut-être avec des crédits biodiversité, sur le modèle des crédits carbone, qui sont l’équivalent de droits à polluer. Une ONG vient de se lancer sur ce segment à Genève, NatureFinance, avec l’objectif de mettre en réseau la finance, l’écosystème onusien et le monde académique.