Sélection
Sélection d’articles économiques à lire dans Le Temps de mardi. Airbnb contesté en son berceau. La place suisse épinglée pour opacité fiscale. Le lausannois Kosha expérimente le crowdfunding. Interview du directeur de Parmigiani. La chaîne Kempinski traîne son ex-patron en justice.

A l’agenda:
En Suisse: Un bon nombre de sociétés publieront des résultats, notamment, UBS, Starrag, Looser, Tornos et Burckhardt. Le KOF rendra public son sondage conjoncturel pour le mois d’octobre. A 18 heures, Thomas Jordan prononcera un discours «Politique monétaire de la BNS et
place financière suisse» à Genève.
Monde: Après le scandale VW, L’Allemagne et les Etats-Unis présenteront les derniers chiffres des immatriculations de voitures neuves
A lire:
Logement:San Francisco vote ce mardi sur une proposition visant à limiter la marge de manœuvre d’Airbnb. Les nouveaux modèles économiques tel que Uber et Amazon sont aussi concernés. La Suisse n’a pas encore régulé le marché mais des initiatives se multiplient. La disruption face à ses tensions sociales, l’édito de Stéphane Benoit-Godet.
Fiscalité:La Suisse reste bonnet d’âne de l’opacité financière, selon Tax Justice Network. Le classement biennal place la Suisse en tête, mais s’inquiète aussi du Royaume-Uni, des Etats-Unis et de l’Asie. L’analyse de Mathilde Farine: «Le classement qui arrange les critiques du secteur financier suisse».
Financement participatif: La société lausannoise Kosha recherche 12 000 francs sur le site américain Kickstarter. L’opération, qui se terminera le 11 novembre, touche à son but. Reportage et vidéo.
Horlogerie: Marc Gaudreault est aux commandes de Parmigiani depuis début octobre. Il répond aux interrogations soulevées par le premier licenciement collectif de l’histoire de l’entreprise. L’année 2015 sera sans croissance, prévient-il au passage.
Hôtellerie:Reto Wittwer, ancien PDG de Kempinski est accusé d’avoir détourné des montants «substantiels». Il a tenu les rennes de la multinationale pendant près de 20 ans depuis Genève. Ce sont ces accusations, et non pas sa volonté de prendre sa retraite, qui avaient précipité son départ l’an passé.