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Les néobanques, une gestion plus souple de l’argent

Après Revolut, c’est N26, une néobanque allemande, qui s’est ouverte au marché suisse début septembre. Ces nouveaux acteurs, présents uniquement sur mobile, entendent bousculer aussi bien les habitudes des consommateurs que le secteur bancaire traditionnel, notamment en pratiquant une politique agressive sur les frais de change

La néobanque allemande N26 revendique 3,5 millions de clients. — © Thomas Trutschel/Photothek via Getty Images
La néobanque allemande N26 revendique 3,5 millions de clients. — © Thomas Trutschel/Photothek via Getty Images

Une carte de paiement sans frais, cinq retraits gratuits par mois, des paiements sans commission à l’étranger… Arrivée le 3 septembre en Suisse, la néobanque allemande N26 propose une offre très compétitive pour les particuliers avec l’objectif de concurrencer les banques traditionnelles. A la différence de sa concurrente directe, Revolut, N26 ne fournit pas d’IBAN suisse, mais uniquement l’ouverture d’un compte en euros.

Lire aussi:  La place financière face à la menace des «néobanques»

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