Un succès. Mais un succès qui s’érode avec le temps. Les politiques de taux d’intérêt négatifs ont permis de réduire les coûts d’emprunts et d’en augmenter les volumes, tandis que leurs coûts en termes de stabilité financière et de distorsions de marché semblent modestes, affirme Alexander Swoboda, professeur honoraire de l’Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) à Genève.