Pas d’activités frauduleuses ou illégales. Pas de «mauvaise intention». Mais «une inefficacité dans la gestion des risques», considère le communiqué de presse de Credit Suisse à propos de l’enquête qu’elle a mandatée pour comprendre ce qui s’est passé avec le fiasco Archegos qui lui a coûté 5 milliards de francs.