La Suisse n’est pas prête à affronter les grands risques. Ce n’est pas seulement vrai pour la pandémie. D’autres menaces restent non assurées. Par exemple, «nous ne sommes pas suffisamment équipés pour faire face aux effets d’une pénurie d’électricité. Nous regrettons aussi que l’assurance tremblements de terre ne soit toujours pas obligatoire», a déclaré jeudi Juan Beer, membre de la direction de l’Association suisse d’assurances (ASA).