Union africaine

L’Afrique a décidé de présenter une position commune au sommet du G20, qui recommande notamment plus de contrôle des marchés financiers internationaux et demande à ses partenaires de tenir leurs engagements financiers.

«Il y a un besoin pour une régulation transfrontalière des marchés financiers, et des efforts doivent être faits pour améliorer la coopération internationale dans la surveillance et la régulation des systèmes financiers», indique la «Position commune de l’Afrique», qui doit être présentée par l’Union africaine (UA) et dont l’AFP a obtenu copie. (AFP)

Brésil

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a affirmé mercredi à Paris que le sommet du G20 serait «difficile», mais étant «excessivement optimiste», il en attend «au moins une proposition qui sera un encouragement» à la reprise économique. (AFP)

Sénégal

La voix des pays en développement doit être «mieux prise en compte dans les organismes internationaux», a affirmé mercredi à Dakar le ministre sénégalais de l’Economie Abdoulaye Diop, avant le sommet de Londres des dirigeants du G20. (AFP)

Espagne

Le chef du gouvernement socialiste espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, a annoncé mercredi qu’il allait demander lors du sommet du G20 à Londres que les partenaires sociaux, syndicats et patronat, aient une «voix permanente» au G20.

«Je demanderai lors de ma première intervention que les représentants des syndicats, les représentants des travailleurs, et les entrepreneurs, aient aussi leur voix permanente dans le forum du G20», a-t-il dit lors du congrès du syndicat espagnol UGT. L’Espagne ne fait pas formellement partie du G20, mais est parvenue à se faire inviter. (AFP)

Grande-Bretagne

Le ministre du Commerce et de l’Industrie britannique Peter Mandelson a estimé mercredi que le sommet du G20 permettrait de constater un consensus de réforme ambitieux jeudi.

M. Mandelson a considéré dans une interview à France 24 que, loin de s’être évanouis, les espoirs sur le sommet «s’étaient renforcés, car on voit de la part des participants une détermination à faire ce qu’il faut, en tant que gouvernements mais aussi ensemble, pour relancer l’économie […] et pour réformer de manière substantielle la gouvernance de l’économie mondiale». (AFP)