«Les dirigeants politiques et les régulateurs ont conclu que l’idée de spécifier une approche mondiale au démantèlement des banques en faillite est un défi trop complexe», a-t-il précisé.
Et «le G20 est parti pour reporter une décision pour savoir s’il faut mettre en place au niveau mondial une exigence en matière de fonds propres supplémentaires pour les banques d’importance systémique», a ajouté le Financial Times.
Ce point fait l’objet de dissensions au sein du G20. Certains pays dont le secteur bancaire est concentré, comme la France, estiment en effet qu’ils subiraient une concurrence déloyale.
Selon une liste obtenue par le quotidien des affaires, parmi les institutions financières identifiées par le G20 se trouvent une allemande (Deutsche Bank), des américaines (Bank of America-Merrill Lynch, Citigroup, Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley), des britanniques (Barclays, HSBC, Royal Bank of Scotland, Standard Chartered), une canadienne (RBC), des espagnoles (Santander, BBVA), des françaises (BNP Paribas, Société Générale), des italiennes (Banca Intesa, UniCredit), des japonaises (Mitsubishi UFJ, Mizuho, Nomura, Sumitomo Mitsui), une néerlandaise (ING) et des suisses (Credit Suisse, UBS). Mais certaines pourraient être retirées.