Luxe
AbonnéLes groupes Richemont et Kering, tout comme Pandora, ont annoncé la semaine dernière leur retrait du Responsible Jewellery Council (RJC). En cause, la présence d’une entreprise d’Etat russe dans cet organisme veillant à l’impact éthique de l’industrie. Entre-temps, le diamantier incriminé s’est retiré du RJC

L’annonce, mercredi dernier à l’occasion d’une conférence de presse organisée dans le cadre du salon Watches and Wonders Geneva, du retrait de Richemont du Responsible Jewellery Council (RJC), a provoqué un petit séisme dans le monde policé du luxe. Organisme international réunissant près de 1500 membres issus de la joaillerie, de la bijouterie et de l’horlogerie, le RJC veille à l’impact éthique, sociétal et environnemental de l’industrie. Le groupe Richemont, dont font notamment partie les maisons Buccellati, Cartier, Van Cleef & Arpels, ainsi que Piaget, IWC ou encore Jaeger LeCoultre, en est l’un des membres fondateurs.