François Billig, d'Acrotec: «L’ADN de la microtechnique est suisse»
Grande interview
AbonnéLe groupe Acrotec multiplie les annonces de rachat d’entreprises, aussi bien dans le domaine de la medtech que de l’horlogerie. Spécialisée dans le décolletage, la firme table sur un savoir-faire spécifique à la Suisse en termes de miniaturisation pour conquérir le monde
Modifié lundi 13 juin 2022 à 04:42
Les communiqués annonçant qu’une entreprise a rejoint le groupe jurassien Acrotec tombent à un rythme régulier depuis le début de l’année. Spécialisée dans le décolletage, la firme basée à Develier, dans le canton du Jura, s’est fait connaître grâce à son expertise en matière horlogère. Depuis quelques années, désirant préserver son indépendance et ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, comme il se plaît à le souligner, son PDG, François Billig, mise également sur le médical. Le groupe compte désormais 27 entreprises dans son escarcelle, 31 sites de production, en Suisse, en Europe ainsi qu’en Asie, et un peu plus de 2300 employés.
