Industrie
AbonnéSi les résultats de l’horlogerie atteignent des records, l’activité des sous-traitants a également extrêmement bien redémarré. Mais ces derniers ne sont pas épargnés par les hausses de prix des matières premières, ainsi que par les difficultés pour recruter

Aux côtés de l'EPFL et de «PME Magazine», «Le Temps» célèbre l'entrepreneuriat et l'innovation, à l'occasion de Forward-PME qui aura lieu le 9 juin au Swiss Convention Center.
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La pandémie et l’arrêt total de la production avaient déjà poussé les prix des matières premières à la hausse, notamment le cuivre et l’acier. L’éclatement du conflit en Ukraine n’a fait que confirmer cette tendance, qui impacte les sous-traitants horlogers à différents degrés. Mais pour les principaux concernés, c’est le phénomène de fluctuation qui pose le plus de problèmes. «L’incertitude n’est jamais favorable à l’industrie», note François Billig, le patron d’Acrotec, l’un des plus grands sous-traitants de l’horlogerie helvétique basé à Develier, dans le Jura.