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Nicolas Bos, patron de Van Cleef & Arpels: «Les fleurs et les papillons font encore vendre»

Le patron de la marque connue pour ses colliers et ses bijoux soutient que la nature comme expression de la beauté ne disparaîtra pas. Il affirme que Tiffany, racheté la semaine dernière par LVMH, n’est pas un concurrent direct. Et dit son agacement face à l’industrie du diamant de synthèse

Nicolas Bos: «Nos sources d’inspiration historiques tournent autour de la légèreté, de la représentation de la nature, du mouvement.» — © Van Cleef & Arpels
Nicolas Bos: «Nos sources d’inspiration historiques tournent autour de la légèreté, de la représentation de la nature, du mouvement.» — © Van Cleef & Arpels

Rachat de Tiffany par LVMH, de Buccellati par Richemont, lancement de la première collection de joaillerie sertie de diamants de laboratoire à Paris… L’actualité sur le front des pierres précieuses a été plutôt chargée cet automne.

Pour Nicolas Bos, directeur général et artistique de Van Cleef & Arpels (en mains du groupe Richemont), ces rachats ne sont pas les prémices d’une vague de concentration. Pour celui qui est également au conseil d’administration du groupe de luxe genevois, la joaillerie va rester très fragmentée, car il s’agit d’une industrie qui s’appuie avant tout sur des codes propres à chaque culture. Une chose paraît toutefois certaine, ce n’est pas demain que Nicolas Bos se mettra aux diamants synthétiques.

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