Richemont doit sortir la tête du sable. Depuis le 27 mai, date à laquelle le groupe de luxe genevois (Cartier, IWC ou encore Vacheron Constantin) a annoncé avoir augmenté de 35,8% la rémunération de son comité directeur, il subit le feu des critiques. Des voix s’élèvent de toute part pour dénoncer une gouvernance d’un autre temps.