Autant l’écrire d’emblée: Eric n’est pas son vrai nom. Cet entrepreneur romand d’une quarantaine d’années a souhaité rester anonyme. Non pas parce que l’histoire rocambolesque qu’il a vécue ce printemps l’a traumatisé. Mais parce qu’il estime que la réputation de sa société pourrait en pâtir. Pour le dire plus clairement, Eric craint de passer pour le naïf de service.