Alimentation
AbonnéRemise en question pour des raisons éthiques, écologiques ou encore de santé, la consommation de viande en Suisse ralenti. La filière doit donc faire face à l'arrivée de nouveaux produits présentés comme des substituts

Cet été sur les grills, les habituelles côtelettes et autres saucisses côtoieront des grillades d'un genre nouveau, ressemblant à de la viande sans en être.Que ce soit pour des raisons éthiques, de santé ou écologiques, la viande se voit remise en question. Sur les huit dernières années, sa consommation annuelle en Suisse a baissé de 3% par habitant, à 52 kilos par personne en 2018, selon l’Office fédéral de l’agriculture (OFAG).