C’est un sujet inédit qui a atterri mardi au Conseil des droits de l’homme, qui tient sa session annuelle du 22 février au 19 mars à Genève: la crise de la dette, les droits humains et le rôle des agences de notation. Il est inédit, mais surtout, il répond aux revendications selon lesquelles le Conseil doit se préoccuper certes des droits humains, mais aussi des questions économiques et sociales.