Épidémie
AbonnéDans la perspective d’une paralysie de la deuxième économie mondiale, les investisseurs se ruent sur les valeurs refuges. Et vendent massivement les actions des secteurs du luxe et du tourisme

Ruée vers l’or. Vers les bons du Trésor américain, le yen japonais, le franc suisse et vers toutes sortes de valeurs refuges. Avant même de calculer les coûts économiques de la crise du coronavirus, les investisseurs sont partis en quête de sécurité. Objectif: se séparer des actifs financiers qu’ils considèrent comme les plus exposés à la paralysie de la deuxième économie mondiale.