Après un ultimatum de 48 heures fixé par le collectif Anonymous, les appels au piratage de Nestlé se multiplient. Des hackers ont revendiqué plusieurs attaques contre la multinationale. Celle-ci affirme que seules des données de test ont été volées en février

La pression ne cesse de monter sur Nestlé, pour que le groupe agroalimentaire stoppe ses activités en Russie. Cette pression, incarnée par le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui avait appelé samedi la multinationale vaudoise à quitter le pays qui l’agresse, est également importante en ligne. Dimanche, le collectif de hackers Anonymous fixait un ultimatum de 48 heures à plusieurs groupes étrangers, dont Nestlé, pour qu’ils cessent de vendre leurs produits en Russie. Et depuis, plusieurs cyberattaques ont été revendiquées contre la multinationale.