Il prévoit que la majorité du capital de deux banques, Islandsbanki et New Kaupthing, soit rendue à des actionnaires privés, même si l’Etat reste au capital et au conseil d’administration.
Le système financier islandais, qui avait représenté jusqu’à 11 fois le Produit intérieur brut (PIB) de l’île, s’est effondré l’an dernier, entraînant le plongeon de la couronne islandaise, un bond spectaculaire du chômage puis la démission du gouvernement.
En 2009, l’économie islandaise devrait subir une récession de plus de 10%, selon le ministère des Finances.