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Paul Desmarais: «Je ne voudrais surtout pas, aujourd’hui, être très endetté»

Malgré ses quarante ans d’expérience dans le monde des affaires, le président de la holding genevoise Pargesa vit lui aussi une expérience inédite. Les conséquences économiques du coronavirus le rendent «très nerveux». La polarisation de la société américaine aussi

Paul Desmarais, devant le bâtiment qui abrite Pargesa Holding, à Genève. «Notre économie est en grande majorité composée de services. Si les gens ne consomment plus rien, ne sortent plus, cela va devenir vraiment problématique.» — ©Nicolas Righetti/Lundi 13
Paul Desmarais, devant le bâtiment qui abrite Pargesa Holding, à Genève. «Notre économie est en grande majorité composée de services. Si les gens ne consomment plus rien, ne sortent plus, cela va devenir vraiment problématique.» — ©Nicolas Righetti/Lundi 13

Dans le flux d’informations liées au coronavirus, la nouvelle est un peu passée inaperçue. Elle n’est pourtant pas sans importance. La holding genevoise Pargesa va sortir de la bourse suisse.

Par un mécanisme d’échange d’actions, les actionnaires de Pargesa recevront des actions dans Groupe Bruxelles Lambert (GBL), détenu à hauteur de 50% par Pargesa. Conséquence directe: une prime d’environ 16% pour les actionnaires et une décotation, prévue cet automne, de la société de participations genevoise.

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