Opinion
AbonnéOPINION. La plupart du temps, ceux qui se plaignent d’une pénurie de main-d’œuvre qualifiée sont des représentants des employeurs, ou des chantres de l’économie libérale, affirme Daniel Lampart, premier secrétaire et chef économiste de l’Union syndicale suisse

Ce qu’il est courant de qualifier de «pénurie de main-d’œuvre qualifiée» a bien plus d’avantages que ce que l’on dit.