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Pour repartir, TGV Lyria mise sur le télétravail dans le train

EXCLUSIF. La filiale de la SNCF et des CFF a perdu les deux tiers de son chiffre d’affaires pendant la pandémie. A l’heure de redémarrer, et face à la concurrence de l’avion et de la voiture, TGV Lyria met en avant le côté écologique du train et la possibilité d’utiliser le temps du trajet pour travailler

En raison de la pandémie, l’amélioration de l’offre annoncée par le directeur de TGV Lyria, Fabien Soulet, en 2019, n’a pas produit les effets escomptés. — © Thierry Porchet pour Le Temps
En raison de la pandémie, l’amélioration de l’offre annoncée par le directeur de TGV Lyria, Fabien Soulet, en 2019, n’a pas produit les effets escomptés. — © Thierry Porchet pour Le Temps

La mobilité redémarre. Les CFF annoncent le retour à la normale dans les gares et dans les trains. Les aéroports et les compagnies aériennes préparent le terrain pour accueillir de nouveau les passagers. TGV Lyria, la filiale de la SNCF et des CFF qui assure les liaisons entre la Suisse et Paris, bouge aussi. La pandémie lui a coûté cher, révèle au Temps son directeur, Fabien Soulet: pour 2020, la perte de chiffre d’affaires s’élève à 200 millions d’euros, soit près des deux tiers des 320 millions enregistrés une année normale et le nombre de voyageurs a chuté entre 2019 et 2020 de 5 millions à 2,3 millions.

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