Mais la Bourse a raison. L'action CS fait jeu égal avec UBS cette année parce que l'institut de la Bahnhofstrasse évolue dans le bon sens. L'intégration sous un seul toit, les initiatives prises dans le private banking, par exemple à Singapour, où il emploie 1500 personnes, un plus grand dynamisme du groupe. Tout cela explique le formidable afflux de 12,8 milliards de francs dans la gestion de fortune.
Cet argent n'est pas rentable la première année. Mais CS en récoltera bientôt les fruits.