Maintenir sinon augmenter le niveau de la production agricole pour nourrir près de 8 milliards de bouches, tout en diminuant les surfaces arables pour redonner à la planète les poumons dont elle a besoin pour digérer les excès de consommation d’énergies. Tel est l’immense défi qui doit figurer au premier plan des préoccupations des gouvernements et des investisseurs.