SGS a souffert de la valorisation du franc en comparaison annuelle. En effet, à taux de change constants, le bénéfice net avant éléments exceptionnels révèle une progression de 4,7%, alors que le chiffre d’affaires ressort avec une avancée de 6%, précise le communiqué.
Le groupe genevois dit avoir évolué dans un contexte défavorable marqué par la détérioration de l’économie mondiale. La récession subie par un grand nombre de pays a eu des conséquences sur les flux commerciaux et l’utilisation des capacités de production, commente-t-il.
Malgré un environnement toujours difficile, SGS confirme ses objectifs pour l’ensemble de l’année en cours. L’entreprise, présidée par Sergio Marchionne (patron de Fiat et administrateur de l’UBS aussi), table ainsi sur une croissance interne à un chiffre et des marges opérationnelles stables par rapport à 2008.