Les niveaux sont encore loin de ceux de l’avant-crise, il n’empêche que les Suisses cherchent toujours à faire des emplettes de l’autre côté de la frontière. «La tendance se renforce, à mesure que les pays voisins assouplissent les conditions d’entrée sur leur territoire», observe Rafael Lalive, économiste à l’Université de Lausanne (Unil).