Violation d’obligation de confidentialité vis-à-vis de son employeur et risque de causer des dommages irréparables à l’entreprise. Tels sont les motifs qui ont conduit en septembre la justice zurichoise à forcer un lanceur d’alerte à se taire, selon La Libre Belgique. Ils renforcent une fois de plus la réputation de la Suisse selon laquelle il n’est pas bon d’être un whistleblower dans le pays du secret bancaire.