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En images: dans les coulisses de la création, l’atelier de Maya Rochat

Le regard d’Eddy Mottaz sur l’atelier de Maya Rochat à la veille de l’ouverture, le 7 juin, de l’exposition consacrée à l’artiste Lausannoise à Paris, à la Maison européenne de la photographie

Le regard d’Eddy Mottaz sur l’atelier de Maya Rochat à la veille de l’ouverture, le 7 juin, de l’exposition consacrée à l’artiste Lausannoise à Paris, à la Maison européenne de la photographie

L'atelier de Maya Rochat à Lausanne le 26 avril 2023, un peu plus d'un mois avant l'exposition qui se s'ouvre le 7 juin à la Maison européenne de la photographie  à Paris. — © Eddy Mottaz / Le Temps

L'atelier de Maya Rochat à Lausanne le 26 avril 2023, un peu plus d'un mois avant l'exposition qui se s'ouvre le 7 juin à la Maison européenne de la photographie à Paris. — © Eddy Mottaz / Le Temps

La rampe d’escalier et les innombrables rétroprojecteurs dont Maya Rochat se sert pour ses performances, partie intégrante de son travail de photographe et d’artiste. — © Eddy Mottaz / Le Temps

La rampe d’escalier et les innombrables rétroprojecteurs dont Maya Rochat se sert pour ses performances, partie intégrante de son travail de photographe et d’artiste. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Vue de l'atelier,  à Lausanne le 26 avril 2023. Maya Rochat travaille avec des caissons lumineux, avec des supports brillants pour créer ses images mouvantes et chatoyantes. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Vue de l'atelier, à Lausanne le 26 avril 2023. Maya Rochat travaille avec des caissons lumineux, avec des supports brillants pour créer ses images mouvantes et chatoyantes. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Un détail floral. Les fleurs sont un des motifs sur lequel elle travaille, notamment dans sa série récente, «Fleurs protégées de la Suisse». — © Eddy Mottaz / Le Temps

Un détail floral. Les fleurs sont un des motifs sur lequel elle travaille, notamment dans sa série récente, «Fleurs protégées de la Suisse». — © Eddy Mottaz / Le Temps

L'artiste, Maya Rochat: «J’ai tendance à utiliser plusieurs fois les motifs que j’aime bien, puis à les remixer.» — © Eddy Mottaz / Le Temps

L'artiste, Maya Rochat: «J’ai tendance à utiliser plusieurs fois les motifs que j’aime bien, puis à les remixer.» — © Eddy Mottaz / Le Temps

Sur le sol de l'atelier, les outils de travail. «Il s’agit toujours de peindre avec de la lumière et avec de la couleur», dit Maya Rochat. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Sur le sol de l'atelier, les outils de travail. «Il s’agit toujours de peindre avec de la lumière et avec de la couleur», dit Maya Rochat. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Le sol de l'atelier.  «Dès le début de mes études en photographie, il y avait déjà une recherche de matière et de structure», dit l'artiste. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Le sol de l'atelier. «Dès le début de mes études en photographie, il y avait déjà une recherche de matière et de structure», dit l'artiste. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Dans sa bibliothèque. «Notre société doit faire des choix. Que souhaite-t-on pour soi-même et pour notre société? En interrogeant ce qu’on met dans notre corps, on agit sur ce dernier et en même temps sur notre monde», dit Maya Rochat. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Dans sa bibliothèque. «Notre société doit faire des choix. Que souhaite-t-on pour soi-même et pour notre société? En interrogeant ce qu’on met dans notre corps, on agit sur ce dernier et en même temps sur notre monde», dit Maya Rochat. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Un coin dans l'atelier où elle expose, pour elle, ses constellations personnelles. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Un coin dans l'atelier où elle expose, pour elle, ses constellations personnelles. — © Eddy Mottaz / Le Temps

La bibiliothèque. Son premier grand livre, publié aux Editions SPBH, à Londres, en 2017, s’intitule «A Rock Is a River». — © Eddy Mottaz / Le Temps

La bibiliothèque. Son premier grand livre, publié aux Editions SPBH, à Londres, en 2017, s’intitule «A Rock Is a River». — © Eddy Mottaz / Le Temps

Sur le divan où se tient Maya, la couverture qu'elle a créée. «Mon envie, c’est de ramener les gens à l’art, que ce soit au musée, dans un livre ou dans une exposition, de les inviter à voir la beauté, à réagir à la couleur.» — © Eddy Mottaz / Le Temps

Sur le divan où se tient Maya, la couverture qu'elle a créée. «Mon envie, c’est de ramener les gens à l’art, que ce soit au musée, dans un livre ou dans une exposition, de les inviter à voir la beauté, à réagir à la couleur.» — © Eddy Mottaz / Le Temps

L'atelier et la cuisine. «Je fais des images qui essaient de résister au digital», dit Maya Rochat. — © Eddy Mottaz / Le Temps

L'atelier et la cuisine. «Je fais des images qui essaient de résister au digital», dit Maya Rochat. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Détail de l'atelier. Maya aime multiplier les couches aussi bien dans ses oeuvres que dans son lieu de travail. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Détail de l'atelier. Maya aime multiplier les couches aussi bien dans ses oeuvres que dans son lieu de travail. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Vues de l'atelier. Maya Rochat travaille toutes sortes d'échelles et sur de nombreux supports. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Vues de l'atelier. Maya Rochat travaille toutes sortes d'échelles et sur de nombreux supports. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Dans son atelier, Maya propose un jeu avec des filtres de couleurs, le 26 avril 2023. — © Eddy Mottaz / Le Temps

Dans son atelier, Maya propose un jeu avec des filtres de couleurs, le 26 avril 2023. — © Eddy Mottaz / Le Temps