Dans des Alpes sans neige, les «verrues» de l’industrie du ski
Le photojournaliste indépendant Olivier Maire, collaborateur du Temps et de l’agence Keystone, a photographié durant une année les infrastructures des stations en Valais. Des «verrues» qui pour leurs détracteurs défigurent les paysages alpins. Ses images racontent les mutations d'une industrie touristique, pour qui la neige va devenir une denrée rare et précieuse
Par Le Temps
Parking en jachère, photographié en été 2016 à Aminona.
Même parking à Aminona. Toutes ces images ont été réalisées à la chambre technique Alpa, comme un clin d'oeil à la photographie architecturale.
Tour photographiée sur les hauteurs de Crans-Montana.
Cabine à Nendaz, prise en photo cet été.
Travaux à Veysonnaz, photographiés à l'automne 2016.
Télésiège sur les Crêtes de Thyon photographié en automne. La neige est ici artificielle.
Installation hydraulique sur la Dixence, près des pistes de Veysonnaz.
Pylône désaffecté au Grand-Saint-Bernard, début 2017.
Une toute nouvelle remontée mécanique à Crans-Montana, photographiée début 2017.
A Crans-Montana, des moniteurs apprennent le ski à des touristes sur une étroite bande de neige artificielle.
Tapis roulant flambant neuf pour acheminer les skieurs, photographié début 2017 à Crans-Montana.
Ancien pylône au Grand-Saint-Bernard, «érigé comme le totem d'une divinité oublié», plaisante le photographe Olivier Maire.
Parking au Grand Saint-Bernard
Baraquement sur la route du Grand-Saint-Bernard