Une histoire en images de la Lausanne olympique
Le statut «olympique» de Lausanne doit beaucoup à deux hommes qui appréciaient beaucoup la région: Pierre de Coubertin et Juan Antonio Samaranch
Par Le Temps

Le nouveau siège du CIO, avant son inauguration ce dimanche 23 juin 2019.
L'intérieur du nouveau bâtiment, dessiné par le bureau d'architecture danois 3XN.
Le buste de l'homme qui a fondé le CIO en 1894, et sous l'impulsion duquel l'organisation s'est installée à Lausanne en 2015: Pierre de Coubertin.
Pierre de Coubertin quelques mois avant sa mort en 1937, aux côtés d'Henri Guisan.
En 1944, Lausanne célèbre le cinquantenaire du CIO.
Juan Antonio Samaranch fait visiter les jardins du Musée olympique, inauguré en 1993, à son compatriote Felipe d'Espagne.
Juan Antonio Samaranch (au centre), qui a présidé le CIO de 1980 à 2001, à l’entrée de Lausanne en 1982, avec deux membres du CIO, le Suisse Raymond Gafner (à gauche) et le Tunisien Mohamed Mzali.
Pelé au Musée, en août 1996.
Yvette Jaggi, alors syndique de Lausanne, et Juan Antonio Samaranch en 1994 à l'occasion du centenaire du CIO. C'est à cette occasion que Lausanne devient officiellement la capitale olympique.
La stèle commémorative installée en 1994.
Installation de l'enseigne «Lausanne Capitale Olympique» sur la gare de Lausanne en avril 1997.
En 1997, des véhicules anciens devant le stade olympique de la Pontaise. Inauguré en 1904, il sera vers 2025 pour faire place à un écoquartier.
La «flamme de l'espoir» de la candidature de Sion 2006 aux jeux d'hiver est allumée devant la tombe de Pierre de Coubertin en 1997. La flamme fera long feu
Une cérémonie en l'honneur de Juan Antonio Samaranch en la Cathédrale de Lausanne, quelque jours après sa mort en avril 2010.
Des Tibétains manifestent devant le siège de l’organisation contre l’organisation des Jeux olympiques à Pékin en 2008.
En 2015, sur la place de la Riponne, le spectacle «Champions!» avec Stéphane Lambiel, commémore le centenaire de l'installation du CIO à Lausanne. Ce sera un échec commercial.
Le palais de Beaulieu en 2017.
Les anneaux olympiques devant le nouveau bâtiment.