Le savoir-faire
AbonnéAvec sa montre Gaïa, le Musée international d’horlogerie, propose une pièce entièrement réalisée dans la métropole horlogère. Affichera-t-elle le temps au poignet de ses habitants ou finira-t-elle par dormir au fond des tiroirs de collectionneurs asiatiques?

Numérique? Analogique? L’affichage de la montre Gaïa tient un peu des deux, et c’est une de ses originalités. Elle en a d’autres, dont celle-ci: «Tous les composants ont été fabriqués dans notre ville. Tout vient de bureaux, d’ateliers et d’industries de chez nous.» Nathalie Marielloni, conservatrice adjointe du Musée international d’horlogerie (MIH), exhibe fièrement «son» bijou, présenté durant l’automne.