Dans la nuit de jeudi à vendredi, un premier vol s’est posé à Washington avec à bord plus de 200 interprètes et d’autres auxiliaires afghans ainsi que leurs familles. Ces gens ont travaillé avec les forces américaines qui sont en train d’achever leur retrait du pays. Ils redoutent les représailles des talibans. Les insurgés contrôlent désormais la plupart du pays et, après le départ du dernier soldat américain, l’armée afghane risque de s’effondrer.