L’association «11 septembre en question» a repris du service le temps d’une projection suivie d’un débat à Genève. Jeudi soir, ils étaient une vingtaine, dont une personne qui confessera être «malheureusement vaccinée pour pouvoir aller à Paris». A l’écran: un film datant de 2011 intitulé Epouvantails, autruches et perroquets. Ces qualificatifs désignent les médias «mainstream» accusés de n’avoir pas suffisamment relayé les thèses remettant en cause la version officielle des attaques du 11-Septembre.