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Joseph Wu: «Taïwan est sur la ligne de front de l’expansion de l’autoritarisme»

En pleine crise à Hongkong, Joseph Wu, ministre taïwanais des Affaires étrangères, l’affirme au «Temps»: «On peut être Chinois et démocrate»

Joseph Wu, ministre taïwanais des Affaires étrangères. — © I-Hwa Cheng/Reuters
Joseph Wu, ministre taïwanais des Affaires étrangères. — © I-Hwa Cheng/Reuters

L’essentiel de la communauté internationale, dont la Suisse, reconnaît le principe d’une seule Chine selon lequel Taïwan appartient à la Chine. L’île, dont le nom officiel est République de Chine, est toutefois de facto séparée de la République populaire depuis 1949, et 17 micro-Etats, dont le Vatican, ont toujours des liens diplomatiques avec elle. Son ministre des Affaires étrangères, Joseph Wu, s’est récemment rendu au Danemark pour participer à une conférence organisée par la Fondation de l’alliance des démocraties dirigée par l’ancien premier ministre Fogh Rasmussen. Il explique au Temps son message aux Européens.

Le Temps: Pourquoi les Européens devraient-ils s’intéresser à Taïwan?

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