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Consensus in extremis à Genève pour négocier un instrument légal de riposte aux futures pandémies

L’Assemblée mondiale de la santé tient de lundi à mercredi une session spéciale pour doter le monde d’un instrument contraignant permettant de mieux faire face aux futures pandémies. Dimanche après-midi, les 194 Etats membres de l’OMS se sont accordés sur un texte de résolution

Le siège de l'Organisation mondiale de la santé à Genève.  — ©Denis Balibouse/Reuters
Le siège de l'Organisation mondiale de la santé à Genève.  — ©Denis Balibouse/Reuters

C’est dans un contexte sanitaire explosif que s’ouvre ce lundi à Genève, jusqu’au 1er décembre, une session spéciale de l’Assemblée mondiale de la santé (AMS), l’organe de décision suprême de l’OMS. Preuve que l’heure est grave: il faut remonter au décès du directeur de l’OMS Lee Jong-wook pour que l’AMS convoque une session extraordinaire. L’enjeu de la conférence est à la hauteur des défis que la planète doit relever pour mieux gérer l’émergence de pandémies à l’avenir.

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