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AbonnéLa start-up valaisanne OrphAnalytics a été sollicitée par le «New York Times» pour analyser qui se cachait derrière les messages de l’anonyme «Q», à l’origine du mouvement conspirationniste QAnon

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La start-up valaisanne OrphAnalytics a été sollicitée par le «New York Times» pour analyser qui se cachait derrière les messages de l’anonyme «Q», à l’origine du mouvement conspirationniste QAnon