Hors du territoire américain, «la plus forte réaction est à attendre en Asie du sud», détaille le ministère dans son bulletin, évoquant des membres d’Al-Qaïda dans les zones tribales du Pakistan.
Mais, a-t-il ajouté, des attentats peuvent aussi «toucher d’autres endroits, dont l’Europe», à l’initiative de groupes liés à Al-Qaïda ou de personnes individuelles défendant les principes du réseau extrémiste. «D’autres régions à haut risque sont celles où se trouvent des bastions d’Al-Qaïda, comme le Moyen-Orient, l’Afrique et l’Asie du Sud-est», ajoute le ministère créé après les attentats du 11-Septembre.
En revanche, «le renseignement américain ne dispose pas d’indice sur une liste de cibles d’Al-Qaïda aux Etats-Unis». Mais, rappelle-t-il, «l’histoire des complots du réseau montre qu’il faut porter une attention particulière au cibles symboliques, économiques, et aux transports». Le ministère affirme «ne pas exclure la possibilité d’attentats de petit calibre».