La Suisse et son président, Ignazio Cassis, répètent que la Conférence de Lugano sur la reconstruction de l’Ukraine, qui s’ouvre ce lundi, ne sera pas une conférence de donateurs mais servira à poser les bases d’un processus «extrêmement long et complexe». Car les combats font toujours rage. Toutefois, l’événement sera aussi l’occasion de nouveaux engagements financiers. Et la Suisse, qui organise ces débats, ne fait pas partie des principaux donateurs en Ukraine dévastée par l’invasion russe.