Ils pourraient regretter son image de stabilité, sa maîtrise sur le bout des doigts des dossiers ou sa capacité, en pleine nuit de sommet européen, à rapprocher tous les points de vue grâce à une sorte d’autorité naturelle. Mais à l’heure du départ d’Angela Merkel, c’est avant tout une longue période de flottement, voire de paralysie pour l’Union européenne (UE), que redoutent les partenaires de Berlin.