Qu’adviendra-t-il lorsque leurs avocats prendront la parole pour les défendre? Quand ils expliqueront que les 11 hommes présents, depuis le 2 septembre, dans le box des accusés, n’ont fait «que» fournir des armes, trafiqué des stupéfiants ou «collaboré» en détention avec les trois tueurs fanatiques dont le procès dissèque l’effroyable itinéraire?