Publicité

Le directeur général du CICR: «Nous ne pouvons faire que ce que les parties au conflit acceptent que l’on fasse»

Alors que beaucoup, en Ukraine, voudraient que le CICR dénonce clairement les crimes de guerre commis par les forces russes et les mauvais traitements des prisonniers de guerre ukrainiens, le directeur général du CICR, Robert Mardini, de passage à Mikolaïv explique les priorités et les limites du travail de son institution

Robert Mardini, directeur général du CICR, de passage à Mikolaïv. — © DR
Robert Mardini, directeur général du CICR, de passage à Mikolaïv. — © DR

Dans un local de la Croix-Rouge ukrainienne de Mikolaïv au sud du pays, des ambulanciers sont réunis pour écouter un délégué du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) venu leur parler des règles à suivre pour améliorer la sécurité en zone de conflit. Une formation accélérée à laquelle est venu assister Robert Mardini, le directeur général du CICR. Avec 300 millions de francs et une rallonge attendue avant l’hiver, l’Ukraine est la plus importante de toutes les opérations de l’organisation dans le monde en termes de ressources humaines et financières. Les actions déployées par l’institution genevoise fondée par Henry Dunant concernent tant l’humanitaire que l’application des Conventions de Genève et des Protocoles additionnels, notamment le traitement des prisonniers de guerre.

Lire aussi: Le CICR et les prisonniers de guerre d’Azovstal

Cet article vous intéresse?

Ne manquez aucun de nos contenus publiés quotidiennement - abonnez-vous dès maintenant à partir de 9.- CHF le premier mois pour accéder à tous nos articles, dossiers, et analyses.

CONSULTER LES OFFRES

Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:

  • Consultez tous les contenus en illimité sur le site et l’application mobile
  • Accédez à l’édition papier en version numérique avant 7 heures du matin
  • Bénéficiez de privilèges exclusifs réservés aux abonnés
  • Accédez aux archives