Peu après 18h, une camionnette s’arrête devant un immeuble de Dnipro à la façade fatiguée. Un à un, une dizaine de réfugiés s’en extirpent. L’un porte un bandage jauni autour d’un bras. L’autre, un chat dans une cage de perroquet. Les regards sont vides. Personne ne dit un mot.